Le BDSM fait partie de ma vie depuis plusieurs années maintenant mais je me rends compte que je n’en parle pas tellement, et, je pense, pas assez.
C’est compliqué sur les réseaux sociaux grand public et c’est compliqué également sur les plateformes comme Onlyfan ou Mym parce que dès qu’il y a une main, un morceau de jambe ou tout autre partie du corps d’une autre personne que moi sur une photo, il est nécessaire que cette personne donne son accord en révélant son identité à la plateforme et y crée un compte. Et c’est loin d’être toujours souhaité par mes partenaires.
C’est ici que l’on retrouve tout l’intérêt d’avoir son propre site ce qui permet plus de liberté mais aussi plus de discrétion. Il n’y a qu’ici que je peux partager ces photos de moments de jeux avec ma soumise, dans mon club privé, avec comme d’habitude du contenu de plus en plus intéressant en fonction de l’abonnement avec le plus intéressant pour mes meilleurs abonnés.